Il l’a lancé en 2015, avec le souhait de démocratiser, de « déformaliser » comme il le dit lui-même les bretelles. La marque a un accent héritage, et se montre décalée avec un style « workwear » assumé.
Il vend ainsi plus de 5000 paires par an, essentiellement en Europe mais aussi au Japon, aux US et au Canada.
En plus de cette courte introduction un peu factuelle, il y a deux choses qu’il faut que je vous dise sur Gilles :
Premièrement : Il n’en est pas à son coup d’essai, il a déjà eu une marque de chemise, Abbie & Rose qu’il a revendu en 2018.
Et deuxièmement, Gilles est un homme généreux, bienveillant, passionné de finance, de stratégie et qui aime transmettre.
C’est pour cela qu’en parallèle de son activité de « développpeur de business de bretelles », Gilles accompagne des marques créatives, avec une acolyte : Candice Rosenfeld. Leur angle d’attaque est la finance, la stratégie et le branding.. Ils apportent là un soutien complet, opérationnel, pragmatique, comme celui qu’il aurait aimé avoir quand il a commencé… cette approche, celle de la transmission résonne très fort chez moi et j’ai adoré lui poser toutes mes questions.
Je vous en souhaite une belle écoute.
Astrid